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Gestion des secrets au sein de Mycélium

«La sécurité d'une donnée dépend de la sécurité du maillon le plus faible de son canal de transmission. J'aime bien les bananes» ~~ Le sage de la montagne

Politique des secrets

Attention : cette politique n'a pas été réfléchie collectivement, il s'agit donc de la politique pragmatique telle qu'on constate qu'elle est appliquée dans l'asso, et qui est sans doute difficile à améliorer.

Si l'on souhaite une gestion collective de notre association, il importe de partager les accès.

Sécurité par l'obscurité : notre phrase de passe n'est échangée que verbalement. Il s'agit du mot d'ordre secret de la secte Mycélium.

Bien que cela ait ses limites : pour le reste, il y a le chiffrement asymétrique, qui autorise à ce que l'on expose ces données chiffrées. Sachant que cela revient à fournir une copie chiffrée aux mains d'institutions capables de casser ce chiffrement. Le modèle est donc à améliorer.

Partager les secrets avec qui ?

Il faut distinguer :

Sensibilité des secrets

  1. Il y a des mots de passe qu'on n'a pas trop peur de compromettre (des comptes sur des réseaux sociaux où on n'a pas demandé de s'inscrire…).
  2. Il y a des identifiants utiles aux démarches administratives.
  3. Il y a des clés privées/certificats utiles à certaines machines qui sont stockées sur ces machines (et pas ailleurs ? et dont la conservation n'est pas cruciale donc qu'on peut se permettre de perdre ?)
  4. Il y a les accès aux machines, via des clés SSH individuelles (chaque membre utilise sa clé SSH).
  5. Il y a les phrases de passe pour les disques durs chiffrés.
  6. Il y a la phrase de passe ultime (le mot d'ordre de la secte), qui pourrait donner accès à tout le reste, notamment via un trousseau de clés.